𓊪𓏏𓎛𓁱 ( lire Ptḥ|Ptah)

ט–טית – ΘΏΘ-THỐTH –𓏏𓅝𓏭𓀭(ḎḤWTY)-דַּעַת/ DAĀTH !

ف ت ح

( ح /Ḥāʾ-ḥ) / (ت /Tāʾ-t) / ( ف /fāʾ)

𓊪 : siège ou socle.Valeur phonétique P . Équivalents en hébreu à פּ , p, Pe, à l’Arabe ف , fāʾ, au phénicien 𐤐 Peh, «bouche ». Labiales sémitiques : P, F, B.

𓏏 : Galette de pain . Unilitère. Equivalant à l’hébreu תּ / t / Tav, à l’arabe ت / t / tā’ , au phénicien T / Taw avec Croix, 𐤈 Teth. Sémitique t, d, ṭ .

𓎛 : mèche en fibres de lin tressées. Valeur phonétique ḥ /h . Équivalents au Copte ϩ / h ou ħ / Hori, Ⳉ/kha ; à l’hébreu ח /he ou hè ; ה /het ou hèt, à l’arabe ح (Ḥāʾ). Sémitiques : ẖ, ḫ, ḥ, ˀ.

𓀭 : homme assis portant la barbe. Déterminatif de divinité, de dieu, de roi, d’homme vénérable.

Vocables de la langue pharaonique :

𓊪𓏏𓎛 ( lire ptḥ / pétèḥ )- verbe. : veut dire créer, former. Variante d’écriture en période greco-romaine . Autre variante de graphie tardive avec l’acception « d’ouvrir » → 𓊪𓏏𓎛𓆀 .

Autre variante d’écriture à l’époque ptolémaïque : 𓊪𓏏𓄑 (lire ptḥ / pétèḥ ) – catégorie lexicale- verbe. Sens : ouvrir.

En Démotique « ptḥ / pétèḥ » avait les acceptions de sculpter, de ciseler.

𓊪𓏏𓎛𓁱 ( lire Ptḥ /Ptah) : nom du dieu démiurge de Memphis créateur et formateur de la terre, de la nature, des hommes et des choses par le pouvoir de sa pensée et de son Verbe.

𓊪𓏏𓎛𓅱𓀭 ( lire Ptḥ-w / pétèḥou) : les dieux créateurs.

Copte :

ⲠⲦⲀϨ (sahidique/vieux copte) : nom propre désignant le dieu démiurge de Memphis (Mn- Nfr), 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( Ptḥ /Ptah), seigneur des artisans.

ⲠⲰⲦϨ (dialecte sahidique), ⲪⲰⲦϨ (dialecte bohaïrique) -cat.lexicale-verbe : veut dire sculpter, ciseler, dessiner.

Vocables en Arabe :

Catégorie verbale :

( فَتَحَ / fataḥa / يَفْتَحُ / yaftaḥu) : ouvrir, frayer , commencer, inaugurer, décider, rendre quelque chose accessible, faire une faveur à quelqu’un, aider, secourir quelqu’un, prendre possession de, occuper, conquérir.

( فَتَّحَ /fattaḥa) / يُفَتِّحُ /yufattiḥu – verbe forme 2) : rendre ouvert à fond, grandement, abondamment en grand nombre.

( اِفْتَتَحَ / iftataḥa) : ouvrir, commencer, inaugurer, amorcer, entamer une question, débuter, s’emparer de, étrenner.

( تَفَتَّحَ / tَfَtَhَ ) : fleurir, éclore, s’épanouir.

( اِسْتَفْتَحَ / istaftaḥa) : chercher à ouvrir, à expliquer, chercher l’aide de quelqu’un ou de Dieu, invoquer l’aide de Dieu.

Catégorie nominale :

( فَتْح/ fatḥ ) / ( pluriel : futūḥāt / فُتُوحَات) : ouverture, commencement, divulgation, conquête, occupation d’une place forte, victoire. Signe de la voyelle fatha.

( الفَتَّاح / Al-Fattāḥ) : nom ou attribut divin signifiant « L’Ouvreur », Qui donne accès, « Celui qui accorde la victoire ».

( فَتْح / fatْḥ ) : triomphe, victoire, fortune, richesse.

( فُتْحَة / futْḥaẗ ) : ouverture, fente, brèche, trou, crevasse, échappée, trouée.

( فَتْحَة / fatْḥaẗ ) : ouverture, orifice.

( فاتِحَة / fātiḥaẗ ) : ouverture, exorde, prélude, préambule, prologue, avant- propos, introduction, préface, nom de la première sourate du Coran, « L’Ouverture », « Celle qui ouvre ».

( فَتَاحَة / fatāḥaẗ ) : aide, secours.

( فُتَاحَةٌ / futāḥaẗٌ ) : jugement, arrêt qui met fin à la contestation.

( فَاتِحٌ / fatiḥũ ) : qui ouvre, qui conquiert.

( فُتُوحٌ /futûḥũ ) : grâces divines.

( فْتِتَاحٌ /iftitāḥũ) : Commencement, ouverture.

( مُفَاتَحَة / mufātaḥaẗ ) : début, commencement de quelque chose.

( تَفَتُّح /tafattuḥ) : efflorescence, floraison, épanouissement.

( فَتُوحٌ /fatûḥū) : première pluie de printemps.

( فُتُوحَات / futuwḥāt ) : les conquêtes.

( مِفْتَحٌ /miftaḥū) : clef.

( مَفْتُوحٌ /maftûḥū) : participe passif résultat de l’action verbale ( فَتَحَ / fataḥa) : ouvert.

Catégorie adjectivale :

( فُتُح / futuḥū ) : qui à le goulot large, ouvert.

( فَتَّاح / fattaḥ ) : conquérant, juge, arbitre.

( مُتَفَتِّح /mutafattaḥ) : efflorescent.

Ge’ez :

ftḥ

Vocables en hébreu :

( פָּתַח ) / (pathach / phonét.paw-thakh’) : (Qal )- ouvrir – (Nifal) -être ouvert, être lâché, détaché- (Piel) -libérer, affranchir, s’ouvrir, desserrer. 2- Sculpter, graver. (Piel) -graver. (Pual) -à graver.

Catégorie nominale :

( מִפְתָּח ) / (miphtach ) : ouverture.

( מַפְתֵּחַ) / (maphteach ) : nom masculin – instrument d’ouverture, clé.

(פֵּתַח ) / (pethach) : nom masculin- entrée, ouverture, encadrement de la porte.

( פֶּתַח ) / (pétakh) : nom féminin -ouverture, porte, entrée.

( פִּתּוּחַ ) / (pittuwach ) : nom masculin – sculpture, gravure, découpage. Vient de (פָּתַח /translit. : pathach / phonét.paw -thakh’) : sculpter, graver, découper.

אֲ֭דֹנָי שְׂפָתַ֣י תִּפְתָּ֑ח וּ֝פִ֗י יַגִּ֥יד תְּהִלָּתֶֽךָ׃

Translittération : Adonaï,cepataï ti–ptah oupi yaguid tehilatekha.)

Traduction : «Adonaï, ouvre mes lèvres afin que ma bouche prononce tes louanges.»

Psaumes 51:15

وَفُتِحَتِ ٱلسَّمَآءُ فَكَانَتْ أَبْوَٰبًۭا

Wa Futiĥati As-Samā’u Fakānat ‘Abwābāan

et le ciel sera ouvert et [présentera] des portes,

Sourate 78 النبأ /An-Naba / La Nouvelle, verset 19, Coran.

וַיָּחִ֣ילוּ עַד־בֹּ֔ושׁ וְהִנֵּ֛ה אֵינֶ֥נּוּ פֹתֵ֖חַ דַּלְתֹ֣ות הָֽעֲלִיָּ֖ה וַיִּקְח֤וּ אֶת־הַמַּפְתֵּ֙חַ֙ וַיִּפְתָּ֔חוּ וְהִנֵּה֙ אֲדֹ֣נֵיהֶ֔ם נֹפֵ֥ל אַ֖רְצָה מֵֽת׃

way·yā·ḥî·lū ‘aḏ bō·wōš wə·hin·nêh-’ê·nen·nū p̄ō·ṯê·aḥ dal·ṯō·wṯ hā·’a·lî·yāh way·yiq·ḥū ’êṯ ham·map̄·tê·aḥ way·yip̄·tā·ḥū wə·hin·nêh-’ă·ḏō·nê·hem nō·p̄êl ’ar·ṣāh mêṯ

Ils attendirent longtemps; et comme il n’ouvrait pas les portes de la chambre haute, ils prirent la clé et ouvrirent, et voici, leur maître était mort, étendu par terre.

Juges 3 : 25, Bible.

Au sujet du dieu Forgeron PTah :

Le nom de l’ancien dieu adoré à Memphis, des premiers habitants des bords du Nil, hérité par les langues dites sémitiques aura survécu jusqu’à finir par désigner dans la langue arabe l’un des Noms ou attributs du Dieu de la religion musulmane qu’est الفَتَّاح /Al-Fattāh » avec toutes les significations qui lui étaient inhérentes, الفَتَّاح /Al-Fattāh signifiant le Révélateur, l’Ouvreur, Celui qui ouvre (voir la racine arabe « F-T-Ḥ » à partir de laquelle ce Nom divin a été formé ). On trouve dans les strates les plus anciennes de la langue pharaonique le même vocable verbal qu’est 𓊪𓏏𓎛 ( lire ptḥ / pétèḥ ) qui veut dire créer, façonner, former ou 𓊪𓏏𓎛𓆀 ( lire ptḥ / pétèḥ) avec le sens d’ouvrir, de procéder à une ouverture.

Les fonctions attribuées à l’ancien dieu de Memphis étaient spécifiquement celles d’un dieu créateur, concepteur et formateur, possesseur du Verbe créateur, concevant dans son coeur ce qu’il veut créer, la terre, les hommes et les choses en les manifestant par son Verbe créateur.

𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah), « Celui qui façonne », l’Ouvreur, celui qui crée, était le dieu démiurge des anciens égyptiens, ayant précédé le monde, il était considéré comme un dieu autogène, créateur à la fois de lui-même en premier et des autres dieux et de l’humanité en second qu’il a conçus dans sa pensée avant de les manifester par le pouvoir de son Verbe créateur. Dans la statuaire, dans l’iconographie ancienne égyptienne il est représenté sous les traits d’un bel homme portant la barbe et une calotte bleue sur la tête tout le reste du corps enserré dans une gaine d’où s’extériorisent ses mains tenant le Sceptre royal Ouas, la croix ansée Ankh et le pilier Djed symbolisant respectivement la Force, la Vie éternelle et la Stabilité.

Les anciens égyptiens avaient associé de plus au nom de leur dieu 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah), à partir du Nouvel Empire, le qualificatif et fonctions d’un autre fort ancien dieu qu’était Ta-ténen, signifiant « la terre qui s’ouvre, se soulève », « La terre émergée », « Le tertre primordial ». Sous l’effigie de Ta-tenen dont les attributs lui ont été associés, il était figuré sous les traits d’un jeune homme viride de corpulence robuste portant une coiffe nantie de deux plumes d’Autruche encadrant à leur base un disque solaire rouge et flanquées par deux Uraeus portant chacun un disque solaire symbolisant le dieu Rê. Il y a à se demander si le vocable par lequel les arabes désignent les caractéristiques relatives à la jeunesse à la fraîcheur à la verdeur de l’âge qu’est ( فُتُوَّة / futuwَh) issu de la racine défectueuse « ف ت و » ne tirerait pas son origine du nom du dieu 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah) dont les attributs étaient aussi ceux de verdeur, de viridité, de grande largesse, de prodigalité , d’ouverture et de grande réceptivité aux doléances des hommes. Il était pour les anciens égyptiens le dieu qui écoutait et exauçait les prières, le dieu de l’ouverture et de la générosité.

Les fonctions qui étaient celles de Ta-tenen, « l’incarnation des premières terres émergées du monde », ont fini par être conférées au dieu 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah). Ta-tenen était un dieu chthonien avec les mêmes fonctions et attributs qu’on trouve chez l’Héphaïstos ( apo tou ephtaï / celui qui brûle ou qui est allumé ) des grecs, le dieu forgeron boiteux, celui du marteau et l’enclume. 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah) était aussi dénommé le dieu forgeron, maître des fondeurs de métaux, des métallurgistes, seigneur protecteur des artisans, de ceux qui travaillent et façonnent les métaux. Il était aussi le dieu des tremblements de terre, des bouleversements telluriques. Étant associé à Ta-tenen, 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah) concentrait les attributs d’un dieu tellurique, ayant le pouvoir formateur des richesses minérales des tréfonds de la terre. Le dieu 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah) était vénéré principalement comme seigneur protecteur des artisans, des architectes, des peintres, des sculpteurs, des modeleurs, des orfèvres, comme le dieu patron inspirateur des transformateurs de la matière de ceux qui fabriquent à partir d’elle les plus belles choses en la façonnant en la magnifiant. Tous ces artisans et créateurs étaient considérés comme les imitateurs du dieu démiurge de Memphis.

jw dmḏ~n=j ptḥ(w).w

(car) j’ai associé les Créateurs.

Extraits des Textes des Sarcophages du Moyen Empire égyptien, volume 3, CTVII, Spell [1017] (support du texte : papyrus P.Gard. II) page 236, section j . Translittération et traduction de M. Claude Carrier, page 2160-2161. Éditions du Rocher, 2004.

La racine verbale qui a donné le nom de l’ancien dieu de Memphis appartient aux strates les plus anciennes de la langue pharaonique. Le nom du dieu Ptah dont elle est constitutive figure présent depuis l’Ancien empire dans les plus anciens textes religieux connus de l’humanité (on sait qu’avant d’apparaitre pour la première fois gravés dans la tombe d’Ounas que ces textes funéraires existaient bien avant lui, que leur contenu remonterait à l’Égypte pré-dynastique remanié et concocté pour les parois de sa dernière demeure par les prêtres héliopolitains qui semblent avoir puisé dans un corpus préexistant) que sont les premiers Textes des Pyramides de l’Égypte ancienne, des Ve et VIe dynastie, vers 2350 à 2150 av. J.-C, ceux d’Ounas / 𓃹𓈖𓇋 𓋴 et de Téti / 𓏏 𓏏 𓇋 . C’est dans ceux du pharaon Téti / 𓏏 𓏏 𓇋, premier roi et fondateur de la VIe dynastie, vieux de 4300 ans que le nom du dieu 𓊪𓏏𓎛𓀭 ( lire Ptḥ /Ptah) apparait deux fois :

[ ḏd mdw ] j Wr-kȜ=f

ẖnm n(y) Ḥr sḫm sḥ n(y) Rʿsmsw js.t n(y.t) Ptḥ

d n T wr wnm(w) T jr dd(w)=k

[-Formule à réciter -] Ô Ourkaf,

échanson de Horus, puissant du pavillon de Rê, ancien du palais de Ptah,

donne la suffisance à Téti (afin) que Téti puisse manger en fonction de ce que tu lui donnes !

Textes des Pyramides de l’Égypte Ancienne Tome 1, Textes des Pyramides d’Ounas et de Téti. Textes de la Pyramide de Téti, textes de la chambre funéraire, localisation T/F/E sup, colonne 34, Spruch {345} paragraphe 560 a à 560 c. Translittération et traduction de M. Claude Carrier, page 220 et 221, édit. CYBELE 2009.

[ḏd mdw j Wr-kȜ=f]

[ẖnmw n(y) Ḥr] sḫm sḥ n(y) Rʿsmsw js.t n(y.t) Ptḥ

d n T wr

[Ô Ourkaf,]

[échanson de Horus], puissant du pavillon de Rê, ancien du palais de Ptah,

accorde à Téti à satiété

Textes des Pyramides de l’Égypte Ancienne Tome 1, Textes des Pyramides d’Ounas et de Téti. Textes de la Pyramide de Téti, textes de la chambre funéraire, localisation T/F/E sup, colonne 44, Spruch {349} paragraphe 566 a à 566 c. Translittération et traduction de M. Claude Carrier, page 222 et 223, édit. CYBELLE 2009.

Inauguralement c’est à la racine constitutive du nom de cet ancien dieu de l’Égypte antique, que la première sourate du Coran doit sa désignation (et pleinement sa signification) d’Al-Fātiḥa, الفَاتِحَة, L’Ouverture. De même on la rencontrera forgeant le nom de la quarante huitième sourate du Coran qu’est Al-Fātḥ, الفتح , « La Victoire éclatante » tiré de son premier verset où elle surgit deux fois : « إِنَّا فَتَحْنَا لَكَ فَتْحًا مُّبِينًا « innā fataḥnā laka fatḥn mubīna » ( traduction de Maurice Gloton : « 1- Vraiment, Nous, Nous t’avons accordé une ouverture victorieuse évidente »). Le Coran compte trente et huit occurrences de cette racine ( ح /Ḥāʾ-ḥ) / (ت /Tāʾ-t) / ( ف /fāʾ) dont la plus vieille trace se trouve dans la Pyramide du Pharaon 𓏏𓏏𓇋 ( Téty), (Ḏd-s.wt Ttj | Les demeures de Téty sont solidement établies) formant le nom du dieu de l’Ouverture de la bouche, 𓊪𓏏𓎛𓁱 ( lire Ptḥ /Ptah).

Bien avant le Coran, scripturalement, c’est dans la Bible hébraïque ( l’Ancien Testament) qu’on dénombre abondamment la présence de cette racine constitutive du nom du dieu 𓊪𓏏𓎛𓁱 ( lire Ptḥ /Ptah). Nous en référençons juste quelques passages pour vous en laisser le plus grand nombre restant à la curiosité de votre loisir… :

Ouvrir :

בִּשְׁנַ֨ת שֵׁשׁ־מֵאֹ֤ות שָׁנָה֙ לְחַיֵּי־נֹ֔חַ בַּחֹ֙דֶשׁ֙ הַשֵּׁנִ֔י בְּשִׁבְעָֽה־עָשָׂ֥ר יֹ֖ום לַחֹ֑דֶשׁ בַּיֹּ֣ום הַזֶּ֗ה נִבְקְעוּ֙ כָּֽל־מַעְיְנֹת֙ תְּהֹ֣ום רַבָּ֔ה וַאֲרֻבֹּ֥ת הַשָּׁמַ֖יִם נִפְתָּֽחוּ׃

biš·naṯ šêš mê·’ōṯ šā·nāh lə·ḥay·yê-nō·aḥ ba·ḥō·ḏeš haš·šê·nî bə·šiḇ·’āh-‘ā·śār yō·wm la·ḥō·ḏeš bay·yō·wm haz·zeh niḇ·qə·’ū kāl-ma’·yə·nōṯ ṯə·hō·wm rab·bāh wa·’ă·rub·bōṯ haš·šā·ma·yim nip̄·tā·ḥū

L’an six cent de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là toutes les sources du grand abîme jaillirent, et les écluses des cieux s’ouvrirent.

Genèse 7 : 11 Traduction Louis Second Bible.

וַֽיְהִ֕י מִקֵּ֖ץ אַרְבָּעִ֣ים יֹ֑ום וַיִּפְתַּ֣ח נֹ֔חַ אֶת־חַלֹּ֥ון הַתֵּבָ֖ה אֲשֶׁ֥ר עָשָֽׂה׃

way·hî-miq·qêṣ ’ar·bā·’îm yō·wm way·yip̄·taḥ nō·aḥ ’êṯ ḥal·lō·wn hat·tê·ḇāh ’ă·šer ‘ā·śāh

Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche.

Genèse 8 : 6, traduction Louis Second Bible.

וְהָרָעָ֣ב הָיָ֔ה עַ֖ל כָּל־פְּנֵ֣י הָאָ֑רֶץ וַיִּפְתַּ֨ח יֹוסֵ֜ף אֶֽת־כָּל־אֲשֶׁ֤ר בָּהֶם֙ וַיִּשְׁבֹּ֣ר לְמִצְרַ֔יִם וַיֶּחֱזַ֥ק הָֽרָעָ֖ב בְּאֶ֥רֶץ מִצְרָֽיִם׃

wə·hā·rā·’āḇ hā·yāh ‘al kāl-pə·nê hā·’ā·reṣ way·yip̄·taḥ yō·w·sêp̄ ’êṯ kāl-’ă·šer bā-hem way·yiš·bōr lə·miṣ·ra·yim way·ye·ḥĕ·zaq hā·rā·’āḇ bə·’e·reṣ-miṣ·ra·yim

La famine régnait dans tout le pays. Joseph ouvrit tous les lieux d’approvisionnements, et vendit du blé aux Egyptiens. La famine augmentait dans le pays d’Egypte.

Genèse 41 : 56 traduction Louis Second Bible.

וְנָתַתִּ֛י מַפְתֵּ֥חַ בֵּית־דָּוִ֖ד עַל־שִׁכְמֹ֑ו וּפָתַח֙ וְאֵ֣ין סֹגֵ֔ר וְסָגַ֖ר וְאֵ֥ין פֹּתֵֽחַ׃

wə-nā-ṯatî map̄-tê aḥ bêṯ-dā-wiḏ ‘al-šiḵ-môw ū-p̄ā-tah wə-‘ên sō-ḡer wə-´ên « pô-ṯê-aḥ

Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n’ouvrira. Isaiah 22:22 traduction Louis Second Bible.

וְ֠דָנִיֵּאל כְּדִ֨י יְדַ֜ע דִּֽי־רְשִׁ֤ים כְּתָבָא֙ עַ֣ל לְבַיְתֵ֔הּ וְכַוִּ֨ין פְּתִיחָ֥ן לֵהּ֙ בְּעִלִּיתֵ֔הּ נֶ֖גֶד יְרוּשְׁלֶ֑ם וְזִמְנִין֩ תְּלָתָ֨ה בְיֹומָ֜א ה֣וּא ׀ בָּרֵ֣ךְ עַל־בִּרְכֹ֗והִי וּמְצַלֵּ֤א וּמֹודֵא֙ קֳדָ֣ם אֱלָהֵ֔הּ כָּל־קֳבֵל֙ דִּֽי־הֲוָ֣א עָבֵ֔ד מִן־קַדְמַ֖ת דְּנָֽה׃ ס

wə·ḏā·nî·yêl kə·ḏî yə·ḏa’dî rə·šîm kə·ṯā·ḇā ‘al lə·ḇay·ṯêh wə·ḵaw·wîn wə·ḵaw·wîn pə·ṯî·ḥān lêh bə·’il·lî·ṯêh ne·ḡeḏ yə·rū·šə·lem wə·zim·nîn tə·lā·ṯāh ḇə·yō·w·mā ḇə·yō·w·mā hū bā·rêḵ ‘al-bir·ḵō·w·hî ū·mə·ṣal·lê ū·mō·w·ḏê qo·ḏām ’ĕ·lā·hêh kāl-qo·ḇêl dî hă·wā ‘ā·ḇêḏ min-qaḏ·maṯ də·nāh s

Lorsque Daniel sut que le décret était écrit, il se retira dans sa maison, où les fenêtres de la chambre supérieure étaient ouvertes dans la direction de Jérusalem; et trois fois le jour il se mettait à genoux, il priait, et il louait son Dieu, comme il le faisait auparavant.

Daniel 6 : 10 Bible.

Sculpter, entailler, graver :

וְאֵת֩ כָּל־קִירֹ֨ות הַבַּ֜יִת מֵסַ֣ב ׀ קָלַ֗ע פִּתּוּחֵי֙ מִקְלְעֹות֙ כְּרוּבִ֣ים וְתִֽמֹרֹ֔ת וּפְטוּרֵ֖י צִצִּ֑ים מִלִּפְנִ֖ים וְלַחִיצֹֽון׃

wə·’êṯ kāl-qî·rō·wṯ hab·ba·yiṯ mê·saḇ qā·la’pit·tū·ḥê miq·lə·’ō·wṯ kə·ru·ḇîm wə·ṯi·mō·rōṯ ū·p̄ə·ṭū·rê ṣiṣ·ṣîm mil·lip̄·nîm wə·la·ḥî·ṣō·wn

Il fit sculpter sur tout le pourtour des murs de la maison, à l’intérieur et à l’extérieur, des chérubins, des palmes et des fleurs épanouies.

1 Rois 6 : 29 , Bible.

וַיְחַ֨ף אֶת־הַבַּ֜יִת הַקֹּרֹ֧ות הַסִּפִּ֛ים וְקִֽירֹותָ֥יו וְדַלְתֹותָ֖יו זָהָ֑ב וּפִתַּ֥ח כְּרוּבִ֖ים עַל־הַקִּירֹֽות׃ ס

way·ḥap̄ ’êṯ hab·ba·yiṯ haq·qō·rō·wṯ has·sip·pîm wə·qî·rō·w·ṯāw wə·ḏal·ṯō·w·ṯāw zā·hāḇ ū·p̄it·taḥ kə·ru·ḇîm ‘al-haq·qî·rō·wṯ s

Il couvrit donc d’or la maison, ses sommiers, ses poteaux, ses murailles, et ses portes, et il entailla des Chérubins dans les murailles.

2 Chroniques 3 : 7, traduction Martin Bible.

Clef, instrument d’ouverture :

וְנָתַתִּ֛י מַפְתֵּ֥חַ בֵּית־דָּוִ֖ד עַל־שִׁכְמֹ֑ו וּפָתַח֙ וְאֵ֣ין סֹגֵ֔ר וְסָגַ֖ר וְאֵ֥ין פֹּתֵֽחַ׃

wə-nā-ṯatî map̄-tê aḥ bêṯ-dā-wiḏ ‘al-šiḵ-môw ū-p̄ā-tah wə-‘ên sō-ḡer wə-´ên « pô-ṯê-aḥ

Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne fermera; Quand il fermera, nul n’ouvrira. Isaiah 22:22, traduction Louis Second Bible.

וַיָּחִ֣ילוּ עַד־בֹּ֔ושׁ וְהִנֵּ֛ה אֵינֶ֥נּוּ פֹתֵ֖חַ דַּלְתֹ֣ות הָֽעֲלִיָּ֖ה וַיִּקְח֤וּ אֶת־הַמַּפְתֵּ֙חַ֙ וַיִּפְתָּ֔חוּ וְהִנֵּה֙ אֲדֹ֣נֵיהֶ֔ם נֹפֵ֥ל אַ֖רְצָה מֵֽת׃

way·yā·ḥî·lū ‘aḏ bō·wōš wə·hin·nêh-’ê·nen·nū p̄ō·ṯê·aḥ dal·ṯō·wṯ hā·’a·lî·yāh way·yiq·ḥū ’êṯ ham·map̄·tê·aḥ way·yip̄·tā·ḥū wə·hin·nêh-’ă·ḏō·nê·hem nō·p̄êl ’ar·ṣāh mêṯ

Ils attendirent longtemps; et comme il n’ouvrait pas les portes de la chambre haute, ils prirent la clé et ouvrirent, et voici, leur maître était mort, étendu par terre.

Juges 3 : 25 , Bible.

Au sein du Coran la racine constitutive du nom de l’ancien dieu de l’Égypte pharaonique s’y trouve 38 fois . Nous vous en référençons quelques unes :

Ouvrir :

. فَلَمَّا نَسُوا۟ مَا ذُكِّرُوا۟ بِهِۦ فَتَحْنَا عَلَيْهِمْ أَبْوَٰبَ كُلِّ شَىْءٍ حَتَّىٰٓ إِذَا فَرِحُوا۟ بِمَآ أُوتُوٓا۟ أَخَذْنَٰهُم بَغْتَةًۭ فَإِذَا هُم مُّبْلِسُونَ

Falammā Nasū Mā Dhukkirū Bihi Fataĥnā `Alayhim ‘Abwāba Kulli Shay’in Ĥattá ‘Idhā Fariĥū Bimā ‘Ūtū ‘Akhadhnāhum Baghtatan Fa’idhā Hum Mublisūna

Puis, lorsqu’ils eurent oublié ce qu’on leur avait rappelé, Nous leur ouvrîmes les portes donnant sur toute chose (l’abondance); et lorsqu’ils eurent exulté de joie en raison de ce qui leur avait été donné, Nous les saisîmes soudain, et les voilà désespérés

Sourate 6 الأنعام / Al-Anam / les Bestiaux, verset 44, Coran.

وَلَوْ أَنَّ أَهْلَ ٱلْقُرَىٰٓ ءَامَنُوا۟ وَٱتَّقَوْا۟ لَفَتَحْنَا عَلَيْهِم بَرَكَٰتٍۢ مِّنَ ٱلسَّمَآءِ وَٱلْأَرْضِ وَلَٰكِن كَذَّبُوا۟ فَأَخَذْنَٰهُم بِمَا كَانُوا۟ يَكْسِبُونَ

Wa Law ‘Anna ‘Ahla Al-Qurá ‘Āmanū Wa Attaqaw Lafataĥnā `Alayhim Barakātin Mina As-Samā’i Wa Al-‘Arđi Wa Lakin Kadhabū Fa’akhadhnāhum Bimā Kānū Yaksibūna

Si les habitants des cités avaient cru et s’étaient prémunis, Nous leur aurions ouvert les bénédictions du ciel et de la terre. Mais ils démentirent, et Nous les avons donc saisis pour ce qu’ils avaient acquis.

Sourate 7 الأعراف / Al-Araf / les Murailles, verset 96, Coran.

وَلَوْ فَتَحْنَا عَلَيْهِم بَابًۭا مِّنَ ٱلسَّمَآءِ فَظَلُّوا۟ فِيهِ يَعْرُجُونَ

Wa Law Fataĥnā `Alayhim Bābāan Mina As-Samā’i Fažallū Fīhi Ya`rujūna

Même si Nous ouvrions pour eux une porte du ciel, par où ils puissent continuellement y monter,

Sourate 15 الحجر / Al-Hijr/ Al-Hijr/, verset 14, Coran.

وَفُتِحَتِ ٱلسَّمَآءُ فَكَانَتْ أَبْوَٰبًۭا

Wa Futiĥati As-Samā’u Fakānat ‘Abwābāan

et le ciel sera ouvert et [présentera] des portes,

Sourate 78 النبأ /An-Naba / La Nouvelle, verset 19, Coran.

Portes ouvertes :

جَنَّٰتِ عَدْنٍۢ مُّفَتَّحَةًۭ لَّهُمُ ٱلْأَبْوَٰبُ

Jannāti `Adnin Mufattaĥatan Lahumu Al-‘Abwābu

Les Jardins d’Eden, aux portes ouvertes pour eux,

Sourate 38 ص / Sad / Sad, 50, Coran.

Clefs :

وَعِندَهُۥ مَفَاتِحُ ٱلْغَيْبِ لَا يَعْلَمُهَآ إِلَّا هُوَ وَيَعْلَمُ مَا فِى ٱلْبَرِّ وَٱلْبَحْرِ وَمَا تَسْقُطُ مِن وَرَقَةٍ إِلَّا يَعْلَمُهَا وَلَا حَبَّةٍ فِى ظُلُمَٰتِ ٱلْأَرْضِ وَلَا رَطْبٍ وَلَا يَابِسٍ إِلَّا فِى كِتَٰبٍ مُّبِينٍ

Wa Indahu Mafātiĥu Al-Ghaybi Lā Ya`lamuhā ‘Illā Huwa Wa Ya`lamu Mā Fī Al-Barri Wa Al-Baĥri Wa Mā Tasquţu Min Waraqatin ‘Illā Ya`lamuhā Wa Lā Ĥabbatin Fī Žulumāti Al-‘Arđi Wa Lā Raţbin Wa Lā Yā Bisin ‘Illā Fī Kitābin Mubīnin

C’est Lui qui détient les clefs de l’Inconnaissable. Nul autre que Lui ne les connaît. Et Il connaît ce qui est dans la terre ferme, comme dans la mer. Et pas une feuille ne tombe qu’Il ne le sache. Et pas une graine dans les ténèbres de la terre, rien de frais ou de sec, qui ne soit consigné dans un livre explicite

Sourate 6 الأنعام / Al-Anam / les Bestiaux, verset 59, Coran.

إِنَّ قَٰرُونَ كَانَ مِن قَوْمِ مُوسَىٰ فَبَغَىٰ عَلَيْهِمْ وَءَاتَيْنَٰهُ مِنَ ٱلْكُنُوزِ مَآ إِنَّ مَفَاتِحَهُۥ لَتَنُوٓأُ بِٱلْعُصْبَةِ أُو۟لِى ٱلْقُوَّةِ إِذْ قَالَ لَهُۥ قَوْمُهُۥ لَا تَفْرَحْ إِنَّ ٱللَّهَ لَا يُحِبُّ ٱلْفَرِحِينَ

‘Inna Qārūna Kāna Min Qawmi Mūsá Fabaghá `Alayhim Wa ‘Ātaynāhu Mina Al-Kunūzi Mā ‘Inna Mafātiĥahu Latanū’u Bil-`Uşbati ‘Ūlī Al-Qūwati ‘Idh Qāla Lahu Qawmuhu Lā Tafraĥ ‘Inna Allāha Lā Yuĥibbu Al-Fariĥīna

Coré était du peuple de Moïse mais il les oppressait. Nous lui avions donné des trésors dont les clefs étaient trop lourdes pour un groupe de gens forts. Son peuple lui dit : « Ne te réjouis pas trop, car Dieu n’aime pas ceux qui se réjouissent trop ».

Sourate 28 القصص / Al-Qasas / le Récit, verset 76, Coran.

Révéler (faire apparaitre) :

وَإِذَا لَقُوا۟ ٱلَّذِينَ ءَامَنُوا۟ قَالُوٓا۟ ءَامَنَّا وَإِذَا خَلَا بَعْضُهُمْ إِلَىٰ بَعْضٍۢ قَالُوٓا۟ أَتُحَدِّثُونَهُم بِمَا فَتَحَ ٱللَّهُ عَلَيْكُمْ لِيُحَآجُّوكُم بِهِۦ عِندَ رَبِّكُمْ ۚ أَفَلَا تَعْقِلُونَ

Wa ‘Idhā Laqū Al-Ladhīna ‘Āmanū Qālū ‘Āmannā Wa ‘Idhā Khalā Ba`đuhum ‘Ilá Ba`đin Qālū ‘Atuĥaddithūnahum Bimā Fataĥa Allāhu `Alaykum Liyuĥājjūkum Bihi `Inda Rabbikum ‘Afalā Ta`qilūna

Et quand ils rencontrent des croyants, ils disent: « Nous croyons » et, une fois seuls entre eux, ils disent: « Allez-vous confier aux Musulmans ce qu’Allah vous a révélé pour leur fournir, ainsi, un argument contre vous devant votre Seigneur ! Êtes-vous donc dépourvus de raison ? ».

Sourate 2 البقرة / Al-Baqara / La Vache , verset 76, Coran.

Trancher, juge :

قَدِ ٱفْتَرَيْنَا عَلَى ٱللَّهِ كَذِبًا إِنْ عُدْنَا فِى مِلَّتِكُم بَعْدَ إِذْ نَجَّىٰنَا ٱللَّهُ مِنْهَا ۚ وَمَا يَكُونُ لَنَآ أَن نَّعُودَ فِيهَآ إِلَّآ أَن يَشَآءَ ٱللَّهُ رَبُّنَا ۚ وَسِعَ رَبُّنَا كُلَّ شَىْءٍ عِلْمًا ۚ عَلَى ٱللَّهِ تَوَكَّلْنَا ۚ رَبَّنَا ٱفْتَحْ بَيْنَنَا وَبَيْنَ قَوْمِنَا بِٱلْحَقِّ وَأَنتَ خَيْرُ ٱلْفَٰتِحِينَ

Qadi Aftaraynā `Alá Allāhi Kadhibāan ‘In `Udnā Fī Millatikum Ba`da ‘Idh Najjānā Allāhu Minhā Wa Mā Yakūnu Lanā ‘An Na`ūda Fīhā ‘Illā ‘An Yashā’a Allāhu Rabbunā Wasi`a Rabbunā Kulla Shay’in `Ilmāan `Alá Allāhi Tawakkalnā Rabbanā Aftaĥ Baynanā Wa Bayna Qawminā Bil-Ĥaqqi Wa ‘Anta Khayru Al-Fātiĥīna

Certes, nous aurions forgé un mensonge contre Allah si nous revenions à votre religion après qu’Allah nous en a sauvés. Il ne nous appartient pas d’y retourner à moins qu’Allah notre Seigneur ne le veuille. Notre Seigneur embrasse toute chose de Sa science. C’est en Allah que nous plaçons notre confiance. Ô notre Seigneur, tranche par la vérité, entre nous et notre peuple car Tu es le meilleur des juges.

Sourate 7 الأعراف / Al-Araf / les Murailles, verset 89, Coran.

فَٱفْتَحْ بَيْنِى وَبَيْنَهُمْ فَتْحًۭا وَنَجِّنِى وَمَن مَّعِىَ مِنَ ٱلْمُؤْمِنِينَ

Fāftaĥ Baynī Wa Baynahum Fatĥāan Wa Najjinī Wa Man Ma`ī Mina Al-Mu’uminīna

Tranche donc clairement entre eux et moi; et sauve-moi ainsi que ceux des croyants qui sont avec moi. »

Sourate 26 الشعراء / As-Shuaraa / Les Poètes, verset 118, Coran.

قُلْ يَجْمَعُ بَيْنَنَا رَبُّنَا ثُمَّ يَفْتَحُ بَيْنَنَا بِٱلْحَقِّ وَهُوَ ٱلْفَتَّاحُ ٱلْعَلِيمُ

Qul Yajma`u Baynanā Rabbunā Thumma Yaftaĥu Baynanā Bil-Ĥaqqi Wa Huwa Al-Fattāĥu Al-`Alīmu

Dis: « Notre Seigneur nous réunira, puis Il tranchera entre nous, avec la vérité, car c’est Lui le Grand Juge, l’Omniscient. »

Sourate 34 سبأ / Saba / Saba, verset 26, Coran.

Victoire, Victorieux :

وَيَقُولُونَ مَتَىٰ هَٰذَا ٱلْفَتْحُ إِن كُنتُمْ صَٰدِقِينَ

Wa Yaqūlūna Matá Hādhā Al-Fatĥu ‘In Kuntum Şādiqīna

Et ils disent: « À quand cette victoire, si vous êtes véridiques ? »

Sourate 32 السجدة / As-Sajda / la Prosternation , verset 26, Coran.

إِنَّا فَتَحْنَا لَكَ فَتْحًۭا مُّبِينًۭا

‘Innā Fataĥnā Laka Fatĥāan Mubīnāan

En vérité Nous t’avons accordé une victoire éclatante,

Sourate الفتح / Al-Fath / La Victoire éclatante, verset 1, Coran.

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